Work in progress : La légende de Némo.

Voilà, une petite idée pour motiver les gens à poster : Je vous présente Nemo, chevalier errant sans histoire, mais qui grâce à vous va bientôt en avoir une ! Le principe est très simple, voyez plutôt :

-Le but est de faire découvrir Exileria à travers les yeux d'un voyageur à priori neutre, en style RP. En clair, n'hésitez pas à mettre des références à des royaumes, peuples,etc. Ce seront autant d'idées exploitables pour la crétion de l'univers.

-Un message ne peut pas faire plus de trente lignes (condition où cque si vous la respectez pas c'est pas grave, Ishen-Râh soutenant que voir des messages longs encourage à poster ), et pas moins de cinq.

-Un membre ne peut pas poster deux fois de suite.

-Sentez vous très libre, il n'y a AUCUNE restriction à ce que peut faire Nemo. Si vous voulez qu'il écrabouille la g****** à un big-dragon-de-la-mort-qui-tue, ok, mais racontez nous le combat ( et pas en cinq lignes svp ). Si vous voulez qu'il chante et danse avec des gobelins en mangeant des petits pois farcis, ok, mais racontez-nous comment ils a rencontré les gobelins et comment il a farci les petits pois.

-Mangez des bananes.

Nul ne sait d'où vient Nemo, de quelle bourgade paumée dans un royaume introuvable, ni où il est allé depuis qu'il ne parcourt plus le monde. D'aucun disent qu'il s'est retiré dans une vieille ferme aux confins des landes, où il coule des jours paisibles en attendant de faire le grand voyage. D'autres disent qu'un jour, il s'est assis sur une souche ou un rocher, et qu'il s'est alors rendu compte que marcher ne lui plaisait pas, et qu'il est mort là, savourant jusqu'au bout l'extase de l'Inaction. D'autres enfin affirment que "ce crétin" a finit par se faire tuer à force d'aller là où est le danger, et conseillent en général à leurs enfants de ne jamais quitter le village. Car si personne ne sait d'où il vint, ni où il est allé, on sait quelles ont été les étapes de son éternelle errance. Car il restera à jamais le Voyageur, celui qui a vu de ce monde bien plus qu'aucun mortel n'en a vu ni n'en verra jamais. Laissez nous vous raconter.

Loin de toute ville, loin de tout royaume, las-bas se forgea son
destin, car enfin il rencontra celui qui eternellemment le protègera, il rencontra le Fils de Gaïa !
Un jour il parit, partit loin d'ici, pour occire ceux qui avaient tués, ses fils et sa bien-aimée. Une histoire classique, me direz-vous, mais vous mêmes, ne serez vous pas devenus fous ?Il partit donc en voyage, qui bientôt noircira des pages, car enfin commenca, son aventure qui jamais ne se terminera.
Il partit massacrer, un groupe de pillards sans pitiée, il les traqua des années, par dela les montagnes aux pics glacés. Il traversa des glaciers, et éventra des monstres affamés. Enfin il descendit, vers une terre que nul mortel ne vit. Il eut le souffle coupé, bouche bée devant une telle beauté : Une fôret magnifiques, aux arbres geants fantastiques, de belles créatures volantes, et de viles bestioles rampante.
Mais sa mission n'étant pas terminé, il dégaina son épée : Une belle Claymore affutée, que son aïeul avait forgé.
Il s'enfonca dans la fôret, tranchant tout ce qu'il voyait. Enfin il déboucha, dans une clairière différente du bois, las-bas il vit, ce que des années il avait poursuivi : Les truands assassins, se tenaient la comme des pantins, tout droit et sans mouvement, il s'éffondrèrent mollemment. Alors une voix résonna, et ce fut le silence dans le bois, une grande silhouette s'avanca, faisant trembler la terre sous ses pas.
"Ainsi c'est toi, celui qui jamais ne s'arrêtera ?"
Puis Némo pu voir, ce que personne ne voudrait croire :
Il y avait un géant *Oh mes Dieux, un Tréant !*
Petit, on lui avait dit, que les Tréants étaient maudits.Pendant qu'il ressassait, ces histoire qu'on lui racontait, la silhouette reprit la parole :
"Chasse de ta tête ses histoire de vieilles folles, je suis ton allié, choisi pour te forger, afin que tu affronte ta destiné !"
Némo qui était terrifié, ne put pas parler.
"Némo, tu dois voyager, voyager sans t'arrêter, car telle est ta destiné, et tes aventures seront narrées, longtemps après que les Dieux t'aient oubliés, Gaïa, elle, n'oublie jamais rien, et ton chagrin sera gravé, dans son coeur d'une infinie pitiée. Pars à présent, grand aventurier, pars jusqu'aux confins de l'Orient, las bas la légende t'attend !

Ainsi commenca, le voyage que personne n'oubliera...

On raconte que Nemo errait sans but parmi les cadavres des bandits qu'il avait si longtemps poursuivis, lorsque les paroles du Fils de Gaïa trouvèrent un écho dans son esprit. Il dormit durant tout un jour, et durant tout ce jour les branches des plus hauts arbres se rassemblèrent et s'entremêlèrent, formant au-dessus de sa tête une gigantesque coupole végétale, de sorte que les rayons du soleil, détounés par ce bouclier opaque, laissèrent le dormeur à ses chimères. A l'aube, Nemo partit, du pas souple de ceux qui marchent sans crainte ni regrets, car il savait que où que ces pieds le guideraient, il serait chez lui. Son allure régulière à la nonchalance trompeuse le mena tout d'abord dans le royaume humain de Schlenk, où ses pieds, habitués à fouler le sol sauvage et inégal des forêts, semblaient rechigner à se poser sur les dalles lisses et froides des voies royales. Ce fut le premier contact de Nemo avec la vraie civilisation, lui qui ne connaissait alors que la vie rude d'un petit village isolé. Et ce fut également dans le royaume de Schlenk que le Voyageur écrivit la première ligne de son épopée. Laissez nous vous raconter . . .

On raconte, que c'est las-bas, au Royaume de Schlenk, que Némo décida que jamais Dieux ils ne vénerrerai avec ferveur.
Dans la premiere ville ou il entra, il déboucha sur la place des Dieux. Ici, temples et statues se dréssaient par dizaines. Un temple attira l'attention de Némo. Ce temple sombre, au reflets verts, n'était autre que le temple du Dieu Serpent. Intrigué, il entra. Le couloir qui menait à la salle des prières était sinistres, mais Némo fut écoeuré lorsqu'il vit les statues et les tableaux qui décoraient ce couloir : Partout massacres et sacrifices sanglants était de mise. Némo eut peine à croire que ces scènes étaient inventées, tant l'artiste avait mis de réalisme dans ses oeuvres.
Lorsque Némo s'approcha de la salle aux prières, il entendit des murmures aux accents à glacer le sang des plus courageux. Némo, empli de terreur, n'entra pas, mais regarda d'un oeil, caché derriere un rideau décoré de serpents avalants des bébés humains.
Dans la grande salle, huit silhouettes encapuchonnée dont on ne voyait pas le visage, cahcés dans leur capuche que la lumiere des chandelles vertes n'arrivait pas à élcairer. Au milieu de ce cercle (car ils étaient en cercle), était une table. Autrefois sans doutes de marbre décoré d'or et d'argent, la table était désormais d'un rouge parfois clair, parfois sombre, car le sang avait coulé sur cette table plus d'un milier de fois.
Némo pus voir, entre deux "prêtres", qu'au milieu de la table, il y avait un trou, rempli d'un liquide rouge, du sang !
Alors, le prêtre à la robe décoré des mêmes motifs que le ridau derriere lequel Némo était caché prit la parole, dans une langue de Némo ne comprenait pas, et n'avait jamais entendu, une langue sifflante, maléfique.
Après quelque brefs paroles du "Grand Prêtre", deux autres prêtre apportèrent des bambins humains, qui hurlaient, mais leurs hurelmments furent vite couverts par les prières des prêtres.
*Décidémment, les bébés les obsèdent* pensa Némo.
Les bébés furent posés, un de chaque côté de la table, et presque aussitôt, des serpents sortirent du sang dans le creux de la table.
Némo resta pétrifié, même lorsque les serpents commencèrent à déchirer le ventre des enfants innocents. Finalemment, il ferma les yeux, mais ne put ignorer les hurlemments de terreur et de douleur des nouveaux-nés, qui mirent longtemps, trop longtemps à se taire.
Enfin, Némo ouvrit les yeux, et vit un énorme cobra sorti du bassin, qui engloutissait un à un les sept prêtres, le Grand Prêtre était épargné. Puis le cobra retourna dans le bassin, laissant les minuscules squelettes ou ils étaient. Némo sortit en courant, et vomit une fois arrivé sur la place des Dieux. Puis il repartit, son coeur ayant gagné quelque chose : La Fureur.

Car il était au royaume de Schlenk, un lieu ancien, où la civilisation n'a jamais pu vaincre les rites anciens. Toute la région est sous la coupe d'une influence maléfique, et de nombreux cultes obscurs y sont rendus, à des êtres dont l'existence est en elle-même le pire des blasphèmes. Nemo venait de faire la connaissance de l'un de ces dieux sombres, le dieu-serpent, Inhissassëm. Il s'était arrêté dans une ville qui était tombée sous sa domination voila bien des éons, et depuis le démon y régnait en maître. Nemo courut hors de la ville, dans un bois proche, et bientôt un sommeil enfièvré lui apporta une relative sérenité. La colère grondait en lui, mais il avait sentit le joug que faisait peser le clergé sur une population résignée, et il se sentait seul, et impuissant.
Pour la seconde fois son protecteur lui apparut, mais se fut cette fois dans son rêve que le Treant s'adressa à lui.
"Je ressent ta colère, homme, elle résonne dans tout ton être comme un cor de guerre. Ecoute ! Gaïa parle par ma bouche. Elle sait ce que tu a vu. Elle était là lorsque la grande comète est arrivée, elle était là lorsque le Mal, vaincu, dit-on, s'est précipité sur elle, la défigurant à jamais, faisant de ses moindres recoins un abri à ses rejetons. Sa haine dépasse de loin la tienne, homme. Ecoute ! Je sais le désir que tu as d'affronter cet ennemi. Insensé, qui confond bravoure avec folie ! Cet adversaire, tu n'as aucune chance de le vaincre seul. Corrompus, ses pouvoirs n'en sont pas moins puissants, et bien plus ici, dans son fief. Ecoute ! Cette terre était à Gaïa avant d'être réduite en esclavage par ce démon, alors ne désespère pas. Va, et attend un signe de moi. Ensemble, nous renverrons cette chose dans le néant qui l'a vu naître."